Bien que le projet de rapport permette d’implanter des embryons chimériques, il interdit les études sur la croissance du tissu cérébral humain chez les animaux.
Les membres du panel mentionnent la nécessité d’étudier les cas à l’étranger pour voir s’il existe un risque de créer des êtres qui ne sont ni humains ni animaux.
Les interdictions d’insémination des cellules reproductrices de chimères pour produire une progéniture, car ces cellules pourraient contenir de l’ADN humain.
Le ministère prévoit solliciter des opinions publiques avant de finaliser les révisions des lignes directrices actuelles.
Le chef du groupe, Shinichi Kosaka, affirme que l’implantation des embryons chimériques a été approuvée en raison de leur importance scientifique.
Il dit que le groupe suivra de près les recherches ultérieures pour empêcher la création d’hybrides humains-animaux.
Source: NHK World